Les amis d’allain chantent LEPREST

 

 

Interprété par JY NICOLAS :

 

9. Sacré coco (A. Leprest / G. Pierron) – 2’41”

 

10. On était pas riche (A. Leprest / J. Ferrat) – 3’01”

 

10. Paris Chopin (A. Leprest / J. Ferrat) – 3’33 »

 

Il est possible de commander le CD « Les amis d’allain chantent Leprest » au prix de 17 €uros (hors FDP) via la page contact.

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Amour métis

 

 

Sensation (A. Rimbaud / JY Nicolas) – 2’01″

Amour métis (JY Nicolas) – 2’33″

Mirage (JY Nicolas) – 3’07″

Paris sourires de cendre (JY Nicolas) – 1’41″

Qui suis je ? (JY Nicolas) – 3’18”

Tout court (JY Nicolas) – 3’42”

La planète bleue du crime ? (JY Nicolas) – 3’13”

Pateline (JY Nicolas) – 1’43”

Spleen de nuit blanche (JY Nicolas) – 2’37”

Le temps des repentances (JY Nicolas) – 2’24”

Ombres voraces de la nuit ? (JY Nicolas) – 4’42”

Faut vivre? (M. Mouloudji / C. Carol) – 4’05”

 

Il est possible de commander le CD au prix de 15 €uros (hors FDP) via la page contact.

 

Quelques critiques de l’album :

 

(…) « Amour métis », qui s’ouvre sur le poème de Rimbaud « Sensation » et s’achève sur une très fidèle interprétation du magnifique « Faut vivre », de Mouloudji, nous offre en outre dix chansons signées Jean-Yves Nicolas: oeuvres vibrantes d’une ferveur que réhausse la voix chaude et complice de cet artiste qui,à la manière d’un Ferrat vient de sa belle voix de « crooner » nous glisser à l’oreille quelques précieuses vérités. L’esthétique de l’ensemble n’occulte pas le message, pas plus les arrangements très soignés que la prise de son parfaite: de « La planète bleue du crime » aux « Ombres voraces de la nuit », de « Mirages » à « Paris sourires de cendre », Jean-Yves Nicolas sait nous faire partager ses doutes et ses espoirs, ses révoltes et ses émerveillements grâce à l’alliance d’une écriture ciselée et riche en images et d’une profonde authenticité.
« La ferveur de l’Amour métis » Agnès TYTGAT, dans « Les Amis de Georges » N°77

 

Le disque est consacré aux textes de Jean-Yves, il chante le spleen cher à Baudelaire ,celui qui le tient quand il revoit « Paris sourires de cendre », clame son amour planétaire et métis et, jette un regard plein d’ironie sur ce monde ou « Tout court »,  mais il est aussi un homme engagé, indigné, qui dans « la Planète bleue du crime » s’élève contre le martyre des enfants, la malnutrition et l’exploitation. Une chanson de facture traditionnelle portée par les accents chaleureux et sincères d’un artiste généreux qui nous donne un peu de sa lumière pour échapper aux « Ombres voraces de la nuit ».
F.P.revue Chant’essonne